Jour 9

Avec encore plus d’entrain qu’hier matin, je me retrouve très vite sur mon tapis de yoga. De bon matin, c’est agréable. Je décide même de reprendre une ancienne playlist d’une vidéo par jour d’Adriene. Pour les trente prochains jours, nous savons ce qu’il va se passer sur mon tapis. Cet accompagnement virtuel m’enchante et me rassure. Malgré que les mouvements ne soient pas simples, je m’exécute sans jugements. J’éprouve une gratitude sans fin d’être en mouvement.

Je me sens épanouie. Cela résume ma journée. Les jours précédents m’ont permis d’emmagasiner une énergie mêlée de sérénité. Je me sens à la fois calme et débordante. J’ai les pieds sur terre et ma tête s’envole au milieu des étoiles.

Je profite de cet état pour préparer des cookies. J’aime cuisiner. D’autant plus, lorsque j’ai en tête de partager avec mes proches. Je leur transmets ma bonne humeur par ces douceurs. Les sourires que je récolte me remplissent encore plus.

La journée passe à une vitesse folle.

Je me sens alignée et c’est le plus important. Désormais, c’est tout ce qui compte.

Bon, je vais me chercher un de ces galets magiques.

Jour 8

Ce matin, je me lève avec un élan surprenant. Le corps et l’esprit ne font qu’un. Je mets un pied sur mon tapis de yoga. Jusqu’à maintenant, je me dirigeais vers des séances douces. Le défi d’aujourd’hui est d’avoir une pratique plus conséquente physiquement, pour moi. Je me lance.

J’observe les changements de mon corps. Autrefois, la posture du chien tête en bas n’était qu’une formalité. Aujourd’hui, je ressens chaque muscle. Mon corps tout entier tremble. Il y a quelques mois, j’aurais ressenti de la frustration de ne plus y arriver. Mon regard a changé. Je suis heureuse d’avoir encore ce corps. Je dois l’honorer, avec tout ce qu’il a enduré. Nous sommes une équipe et désormais, je suis là pour le soutenir. J’ai la chance de pouvoir encore essayer de me fabriquer une musculature fonctionnelle. Je dois la saisir.

Par la suite, je vis une journée productive. J’avance plusieurs projets personnels. Je suis enjouée. C’est une magnifique journée.

Je termine ma journée en allant me balader avec une amie qui m’est chère. Nous déambulons dans la ville. L’air est glacial. Le festival des lumières est beaux. C’est féérique. Sur les façades, les couleurs s’entremêlent. J’ai les yeux remplis de belles images, le coeur remplis de chaleur. Je suis aux anges.

Au moment venu, je m’endors avec toute la confiance du monde.

Jour 7

Peut-on souligner que cela fait 7 jours ? Ce n’est pas grand chose sur toute une vie. Pourtant, à mon échelle, c’est le début d’une belle chose que je dois célébrer. Si, en sept journées, je vois des bénéfices, qu’en sera-t-il quand ce ne sera plus qu’une habitude comme une autre? Je suis emplie d’espoir.

Photo de Abby Kihano sur Pexels.com

Je ressens le besoin de faire un petit état des lieux. Depuis mon engagement, je me lève avec une subtile facilité. Ce n’est pas forcément le physique qui est en meilleur état. C’est le mental qui prend immédiatement le relais. Il est reposé et chaque jours, un peu plus enclin à accomplir de belles choses. Je suis beaucoup plus connectée à moi-même. Mon humeur générale n’est plus déterminée par mes sensations physiques. Je me nourris tellement du reste, que cela passe au second plan. Je ne veux plus être guidée par ce que je ne peux pas contrôler.

Aujourd’hui, je travaille. Il me reste très peu de journées à faire avant que mon engagement soit terminé. Les journées n’en sont pas pour autant plus simples. Les tâches sont conséquentes mais je les abordes avec assurance. Je me sens assez forte pour ne pas me laisser déborder.

Je viens de rentrer chez moi. Surprise, encore une fois, une migraine frappe à ma porte. Résiliente, je l’accueille et l’installe avec moi dans le canapé. Je vais lui chercher ce dont elle a besoin. De l’eau, une substance, de l’huile essentielle de menthe poivrée et nous passons le reste de la journée ensemble. Avec patience, nous regardons le temps passer.

Elle est partie tard.

Derrière elle, elle laisse de la fatigue. Malgré tout, je m’empresse de vous écrire. Paradoxalement, je m’exécute avec une lenteur pesante. Mes doigts sont au ralentis. Je ne trouve pas de position confortable. Je me tourne, me retourne. Je ne lâche pas l’affaire. Péniblement, j’arrive à ma dernière phrase.

Je conclus ma journée par une méditation guidée. Je suis à la limite de la somnolence. Un mélange entre le calme intérieur et le sommeil. C’est enivrant.

Jour 6

Le réveil sonne et je ne veux pas y croire. Je regarde l’heure et je ne peux même pas négocier, je dois me lever. La nuit a été agitée. J’ai le souvenir de m’être réveillée à plusieurs reprises. J’ai trouvé le temps long. Au final, je ne me suis pas véritablement reposé. J’ai du mal à comprendre ce qui a joué en ma défaveur mais j‘accepte mon sort. Je ne suis sûrement qu’une personne parmi tant d’autres à vouloir dormir un peu plus.

Je dois me rendre à un rendez-vous et je saisis l’occasion de marcher. Je m’y rends à pieds, aller et retour. Je suis plutôt surprise par la facilité que j’expérimente dans les mouvements. Je remercie mon enveloppe de me permettre des choses si simples. A mon sens, les plus grandes victoires sont dans les petits actes.

Plus tard, je me mets à écrire. J’ai du mal à me concentrer. Au fond de ma boite crânienne, ça tambourine. Je lutte. Le batteur se rapproche de mes tempes. Il est insistant. Je réunis toute ma volonté pour tenter de l’affronter. Rien n’y fait, ni l’eau, ni les substances que je lui envoie dessus n’ont raison de lui. Il a gagné. J’ai mal à la tête.

Mon dernier joker. Abandonner mes plans et clore mes paupières. Je suis mise sur pause.

A mon réveil, je n’aperçois plus le méchant musicien. Je suis enveloppée dans une chaleur étouffante. Le poids de mon corps a doublé. Je me résigne à terminer mon article le plus rapidement possible. Je n’ai pas envie d’abandonner ou de le bâcler mais je dois admettre qu’aujourd’hui, je lutte. Malgré tout, je reste combattive. Je relis très rapidement afin de ne pas trop réfléchir. La fatigue me rend plus sensible aux doutes. Je dois rendre la confiance que mon corps mérite. Il m’a demandé du repos, c’était un besoin. Pourquoi je me justifie?

J’ai besoin de finir la journée de la manière la plus douce qu’il soit. Adriene m’accompagne encore sur mon tapis de yoga. Je ferme les yeux. J’ai une confiance aveugle en sa voix. J’inspire et la douce odeur de l’huile essentielle de mandarine me réconforte. La pratique est une caresse à mon corps, à mon esprit.

C’est bien suffisant pour aujourd’hui.

Jour 5

Le réveil se fait dans la lenteur.

Je m’arrête devant la fenêtre. La ville est déjà éveillée et en pleine activité. Je songe à ce que mon corps pourrait avoir envie. Je lui prépare un petit-déjeuner. Après celui-ci, je passe à mes projets de la journée.

Je commence par de la cuisine. Je mets la main à la pâte car j’ai envie d’une tresse. Les préparations de pains requièrent de prendre le temps. Mélanger les bons dosages ainsi que le pétrissage sont rapides. Vient ensuite l’attente que la levure s’active. Par les températures de novembre, je suis contrainte de mettre en place un cocon d’humidité et de chaleur. J’allume le four, l’air se réchauffe. J’emballe mon précieux bol de pâte dans un torchon. Il est bien installé pour les prochaines heures. J’espère que mes efforts vont payer.

Ils ont payé.

Je pense que prendre soin de moi passe aussi par mon alimentation. Répondre à mes envies, à mes besoins. Je dois apporter à mon corps les choses qui l’aideront à fonctionner correctement. Je n’arrive pas toujours à tendre suffisamment l’oreille pour l’écouter. Lorsque c’est le cas, je suis fière de ce partenariat. Il me le rend si bien.

Je me sens vraiment productive. J’avance plusieurs projets sans voir passer les heures. Il n’y a pas un seul coup de mou. J’avoue que je ne ménage pas mes efforts physiques et que des douleurs se font sentir. Par moment, elles tentent de m’entraver. Je prends de bonnes inspirations avec l’intention d’adoucir les contractures. C’est sûrement un effet placebo, pourtant, cela marche.

Le soleil est déjà couché que j’attaque la dernière partie de mon programme. Le ménage. C’est une tâche ingrate et pourtant si bénéfique à mon sens. Je me sens toujours accomplie à la fin de celui-ci. Je remets les compteurs à zéro. Chaque chose à sa place. Mon horizon s’éclaircit. Comme si mon appartement avait lui aussi pris une grande inspiration.

Il est temps d’aller me doucher. Pour une fois, je ne regarde pas le temps passer. L’eau chaude détend mes muscles et enveloppe mon corps. Je caresse ma peau de savon. Le temps est sur pause et je ne demande rien de plus.

Après une journée chargée, je ne ressens pas le besoin de faire du yoga ou de méditation. J’ai suffisamment pu soigner mon enveloppe corporelle et mon environnement. Mon esprit est apaisé.

La beauté du quotidien me suffit.

Jour 4

By Thirdman

Aujourd’hui, je commence ma journée par un rendez-vous médical. Je vous passe les détails. Il n’y a rien de pertinent jusqu’au moment où la médecin me parle du seul traitement possible pour me soulager.

L’activité physique régulière.

En me proposant cela, elle ne se doute pas à quel point elle conforte mes idées. Cela peut sembler idiot car nous entendons partout que le sport est important. Je le savais autrefois. Pourtant, j’ai le sentiment que c’est un signe de je-ne-sais-quelle bonne étoile veillant sur moi. Je suis peut-être folle. C’est comme si je recevais une validation magique de mon objectif. Un encouragement de la vie.

Je sors du cabinet le coeur confiant. Tout le négatif est balayé par cet imperceptible incitation à agir.

Je me rends sur mon lieu de travail. Je fais ce qu’il faut, ni plus, ni moins.

En rentrant chez moi, je ressens le poids de la fatigue. Il tente de m’aspirer vers les profondeurs de l’inaction et du temps perdu. Je résiste. Je décide de reprendre l’écriture, une fois de plus.

C’est étrange comme au début de chaque session, je bégaie par écrit. J’ai du mal à trouver le bon mot. La virgule m’échappe et ça ne donne rien. Les bruits m’entourant sont plus forts que mes propres pensées. J’ai du mal à réellement me concentrer sur mon clavier. J’insiste. Je colle ensemble plusieurs lettres. J’ajoute des espaces par-ci, par-là. Soudainement, une bulle se forme. Elle est opaque et juste assez grande pour m’abriter. Mon cerveau fait le vide et l’alphabet se met à danser. Mes doigts tiennent la cadence tant bien que mal jusqu’au point final.

Je suis satisfaite. C’est le plus important.

A ce stade, je suis réellement heureuse mais épuisée. Je me rends sur mon tapis de yoga avec peine. Je déploie mon corps doucement. Je sens que je ne peux pas trop lui en demander. Il m’a déjà permis énormément de choses pour une journée. Pour lui montrer ma gratitude, je masse le dessous de mes pieds. Mes doigts pressent avec conviction. Je prends le temps d’inspirer. Mes épaules ont aussi le droit à un massage. J’expire.

En me levant, j’ai l’impression que la fatigue à laissé place à la quiétude.

Je vais me coucher, heureuse.

Jour 3

La journée démarre tôt. Il fait encore nuit lorsque je sors de chez moi. L’odeur du gèle glace mes narines, je rentre mes mains dans mes poches. Je suis en route pour mes obligations professionnelles. Mon être sort du sommeil et je repense très vite à mon objectif quotidien. J’y vais avec la certitude de prendre un temps pour moi. C’est ma motivation principale.

Photo de Josh Hild

Plus tard, je m’empresse de tourner la clé dans la serrure. Mon havre de paix se trouve derrière la porte de bois. Je suis impatiente d’aller cultiver mon jardin secret. Je ne sais pas par où commencer. Ma tête est pleine de brouhaha. Mon corps est affaibli et mon esprit attend sa récompense.

Je décide de répondre à mes besoins physiologiques. Je me nourris d’une délicieuse crêpe à la cannelle ainsi que d’un yoghourt nature. La tisane que j’avale m’emplit d’une chaleur réconfortante. Mon estomac s’apaise. Mon esprit s’éclaircit.

J’écris. C’est fastidieux et maladroit. Je ne me décourage pas. J’aime savoir que je le fais pour mon plaisir et ça me conforte dans ce choix. Objectif déjà largement atteint.

Mon corps est fatigué. Mes doigts ont du mal à répondre aussi vite que mon cerveau fuse. Je ne lâche pas. Je suis obstinée à arriver au bout de mes idées. Mon corps est contracturé, je passe au yoga.

Il me demande le repos. Je le rassure. Désormais, je suis aussi là pour son bien. Je ne cherche pas à accomplir une prouesse physique. Je m’étire doucement, les yeux clos. La musicalité de mon souffle est apaisante. Je m’allonge. Le temps s’arrête pour que je puisse méditer.

Je suis éreintée sans que cela ne m’empêche de me sentir accomplie.

Jour 2

Je pétille. Je suis en pleine ébullition. Mon cerveau fuse et j’en oublie de vous dire la raison. Je suis prise d’une forte impulsion pour ce nouveau projet. Je suis heureuse de vous écrire. Je suis enthousiaste à l’idée de toujours vous écrire, dans quelques mois.

J’ai bien constaté que la vie n’est pas toujours rose et c’est pour ça que j’en suis là. Je m’y accroche par instinct. Une pulsion de vie qui part du plus profond de ma personne. Une envie de créer une ode à la vie. Une ode à ma vie.

Dans mon élan, aujourd’hui, je me suis attelé à la création de ce blog. On pourrait presque dire que c’est un carnet de voyage. Je suis en route pour le bonheur, la joie et le bien-être. Attendez-moi, je suis en chemin!

J’ai commencé ce matin et ça ne partait pas de bonne augure. Je n’étais pas à l’aise avec les outils informatiques, la mise en page et tout le reste. Petit à petit, je n’étais même plus sûre d’avoir ma place dans ce projet, tellement cela me paraissait être une montagne. Au moment où je me suis mise à écrire, c’est devenu limpide. Prendre le temps, chaque jour, de retranscrire ce qui m’approche de la plénitude m’est vital. Il me tient à coeur d’avoir une trace de mes actes quotidiens. Il m’est aussi important de me prouver que je peux entreprendre des choses pour moi. J’ai vécu plusieurs mois à répondre aux attentes et aux besoins de la Terre entière. C’est mon tour désormais.

Je n’ai pas vu la journée passer. C’est agréable comme sentiment. Je ressens une fatigue que j’accueille avec joie. Je décide de dérouler rapidement mon tapis afin d’étirer les muscles de ma nuque et de mon dos par le yoga. Quinze minutes pour apporter un doux soulagement à mon corps. Une caresse bien méritée.

Pour achever cette belle journée, je continue ma lecture du moment. Le duvet me couvre et me protège de l’air frais du soir. Je suis prête pour le repos. Mes yeux suivent attentivement les phrases, les mots et les lettres. Lentement, je glisse dans une douce confusion. Les mots deviennent des murmures de plus en plus imperceptible.

Je succombe.

Jour 1

Pssssst! Il faut que je vous raconte comment commence ma nouvelle vie!

Pour cette première journée, je suis allée me balader.

Le soleil est sur le point de s’en aller que j’enfile mes chaussures. L’air est froid mais agréable. Je le sens circuler dans mon corps au fur-et-à-mesure que j’avance. Je déambule sans destination précise, si ce n’est le bonheur. Il y a cette odeur bien particulière des saisons froides. C’est neutre et gelé. C’est doux mais puissant. Des déclinaisons de bleus, de gris et de jaunes m’entourent. Le soleil tire sa révérence, les réverbères prennent le relais. Ce moment hors du temps, à observer les gens rentrer chez eux avec leurs courses, se mettre au chaud, m’emplit d’énergie.

Je rentre à mon tour.

Je déroule mon tapis et me voilà prête pour une séance de yoga et de méditation.

Je n’ai pas encore acquis la capacité de me guider seule alors je lance une vidéo. J’écoute la voix douce et assurée d’Adriene. Je ferme les yeux et suis ses instructions. Très rapidement, mon rythme de respiration est fluide et confiant. Mes mouvements sont sûrs. La pratique d’aujourd’hui est calme. Je l’ai choisie afin d’apporter une caresse générale à mon corps. En fin de séance, je médite. Enveloppée dans ma couverture préférée, je préserve la chaleur. Elle me protège, c’est agréable. J’ai en tête la volonté de vous écrire mais je tente de centrer mes pensées sur mes sensations. Je ralentis mon cerveau qui bouillonne d’énergie et d’idées. Je crée du vide et de l’espace pour plus tard.

Lorsque j’ouvre à nouveau les paupières, la journée touche définitivement à sa fin. Pourtant, j’ai l’impression d’avoir plus d’énergie qu’au réveil. Je suis simplement heureuse.

Engagement envers moi-même

Et voilà, j’y arrive enfin.

Depuis le temps que je voulais entreprendre ce blog.

Alors, si vous lisez ça, vous vous demandez sûrement ce que je vais bien pouvoir vous raconter.

Ce blog est la preuve de mon engagement. Un accord envers moi-même. Je veux me promettre de prendre le temps, chaque jour, de cultiver mon bonheur. Je traverse actuellement une étape de vie pleines d’incertitudes et je souhaite que cet endroit m’encre dans le réconfort. Ces derniers mois, mon humeur générale a beaucoup été dictée par des événements externes à ma volonté. Petit à petit, je suis passé d’actrice à spectatrice de ma propre existence. Délaissant tous mes loisirs un à un. Pourtant, c’est ma vie. Je dois vivre. Je suis au commande. Je dois reprendre ma vie en main. Je pense que je ne suis ni la première, ni la dernière, à se réveiller ainsi. Je dois arrêter d’attendre que la joie de vivre arrive par magie. La magie n’existe par réellement. Il y a des secrets, des astuces.

C’est pour cela que je suis là. J’ai confiance en ma capacité à trouver le bon chemin pour ma vie idéale. Je ne cherche pas à avoir une vie parfaite car j’ai conscience qu’il y a des limites. Je ne souhaite pas vous embellir la réalité comme cela peut-être le cas sur les réseaux sociaux. J’entame ce processus pour ma personne. D’ailleurs, c’est la raison pour laquelle cet endroit s’appelle Vivre pour moi. Cela résume vraiment mon égoïste démarche.

Maintenant, je souhaite garder une trace de ce parcours et qui sait, peut-être vous donner envie de passer à l’action!

Mes outils de jardinage à bonheur seront ce qui m’apporte du bien-être. Je vous partagerais mon quotidien rempli de yoga, de mes balades, mes pensées et parfois ma cuisine.

C’est PARTI !

Lili